28/05/2009
EUSKAL HERRI, KANAKY : SOLIDARITÉ
À propos des réticences à la présence basque au sein de la Coordination Autochtone Francophone exprimées par des représentants kanaks :
Je rappelle que suite à la première intervention d'Autonomia Eraiki sur les bancs de l'ONU, et ayant appris les comportements inacceptables de gens venant d'Euskal Herri et vivant en Kanaky, nous avions produit le communiqué publié, entre autres, sur notre site de l'époque : Autonomia
Le texte est on ne peut plus clair me semble-t-il. En tant qu'abertzale (patriote basque), notre solidarité active va évidemment vers toutes celles et ceux qui de par le monde souffrent d'injustice et y résistent. Vive la solidarité internationale des peuples en lutte pour leur émancipation !
Gabriel Mouesca
19:25 Publié dans 2009 Des Basques à l'ONU | Commentaires (1)
LA PRESSION NE BAISSE PAS...
Terexa a parlé. Texte appuyé sur les con- sidérations de la langue et de l'éducation en Pays basque. Moment de forte émotion évi- demment, mais c'est la lecture arrivée à sa fin que certains bouleversements se sont produits. En effet, un représentant d'un peuple autochtone francophone s'est em- pressé de venir à notre rencontre, pour nous faire part des commentaires émis dans son oreillette par la traductrice en français (qui pensait avoir éteint son micro, à n'en pas douter). Ainsi, elle a pris à parti l'accent du sud-ouest incompréhensible, ironisant sur ses intonations (passe encore, nous revendiquons de ne pas parler un français pincé), mais s'est permise trois fois de faire le commentaire de... "terroristes" !
17:30 Publié dans 2009 Des Basques à l'ONU, Mailys Iriart | Commentaires (2)
TEREXA A PRIS LA PAROLE POUR DÉFENDRE LA LANGUE BASQUE
Mme TEREXA MICHELENA, de la Délégation citoyenne basque du Pays basque Nord, a estimé que l’Instance devrait inclure dans ses futurs travaux la thématique de la langue et de l’éducation, la langue étant une caractéristique essentielle d’un peuple autochtone. Indiquant qu’à ce jour la France n’avait toujours pas ratifié la Charte européenne des langues minoritaires de 1992, elle a fait savoir que la langue basque ne devait sa survie qu’au travail « acharné » de milliers de « militants autochtones ». La délégation demande à l’Instance de mettre les moyens nécessaires, afin que la France respecte, enfin, les langues autochtones et « minorisées » parlées sur son territoire et qu’elle applique les articles pertinents de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones, a-t-elle ajouté. Elle a conclu en recommandant, en outre, à l’Instance de nommer un expert autochtone pour la zone de l’Europe de l’Ouest, considérant que la France, a elle aussi, ses « autochtones dans l’Hexagone ».
extrait du communiqué à la presse de l'UNPFII
Télécharger le texte intégral de sa déclaration au format pdf
04:30 Publié dans 2009 Des Basques à l'ONU, Terexa Michéléna | Commentaires (0)